Le multiculturalisme est un regroupement d’individus de différentes races et cultures dans un même milieu. Nous retrouvons de plus en plus à travers le monde de sociétés plus multiculturelles grâce à l’immigration et la mondialisation. Ce regroupement de gens occupant des mentalités différentes mena à diverses sociétés un aspect de diversité et d’échange de culture. Par contre, plusieurs controverses mondiales au cours de l’histoire sont fondées sur le principe du multiculturalisme qui n’est pas supporté par chaque culture. Les vies de plusieurs immigrants sont grandement influencées par la ségrégation supportée par la société multi culturaliste dont ils font parti. À travers le monde, la majorité des auteurs écrivant des romans sur le multiculturalisme sont eux-mêmes des victimes et ont vécu dans leur vie des situations de controverse par rapport à leur race dans une société multiculturelle. Les romans «Toronto, je t’aime» écrit par originaire de Bénin en Afrique, Didier Leclair, et «Alexis d’Haïti» par Marie-Célie Agnant exploitent le thème du multiculturalisme dans les sociétés entièrement différentes de Toronto jusqu’à l’autre bout du monde en Haïti. Les aspects abordés dans chaque œuvre littéraire font approche à l’identité des immigrants qui est altérée et formée dans le cadre de la société dont ils font partie. En explorant le parcours de chaque personnage au cours de son histoire, nous expliquerons le thème de multiculturalisme, ainsi que la recherche d’identité des personnages basée sur son vécu comme immigrant.
Chacun des œuvres littéraires discute d’un point de vue immigrant le multiculturalisme dans la société dont ils vivent. Publié en 2011 par la maison d’édition Éditions du Vermillon, le roman «Toronto, je t’aime» par écrivain de descendance africaine né à Montréal, Didier Leclair, raconte la vie d’un homme africain arrivant à Toronto pour visiter son ami depuis la jeunesse en Afrique qu’il n’a pas vu depuis longtemps. Ceci est écrit sous forme de journal personnel du personnage principal, Raymond, ainsi que contient un point de vue dans la mentalité des autres personnages. Le jeune africain du Bénin, un jeune qui n’a jamais quitté son village ou vu autre que son pays d’origine, Raymond, arrive à Toronto et commence son journal en décrivant les lieux et la nouvelle culture urbaine canadienne qui lui entoure. Il décrit quelques-unes des rues fameuses de Toronto tels que la rue Yonge, Queen et King avec des détails excessifs. Il décrit la rue Yonge comme : «[…] la plus longue de Toronto. Certains disent que c’est la plus longue au monde […] des faisceaux multicolores de voitures. On aura cru le chatoiement d’émeraudes sur une piste infinie. Des passants pris en mouvement, révélant des dédoublements multiples à leurs silhouettes floues et octroyant à ma carte postale à une atmosphère électrisante et pleine de vie. » Cet atmosphère en est une qu’il n’a jamais vécu lors de toute sa vie en Afrique. Il est émerveillé par la diversité et la culture urbaine de la ville dont il voit pour la première fois. Il explique aussi les autres merveilles qu’il retrouve au cours de son histoire à Toronto, tel que les grands immeubles qui touchent le ciel, et le métropolitain qu’il définie comme un serpent métallique passant sous la terre.
Dès le début de son arrivée à Toronto, Raymond était un garçon silencieux, très fermé et ne partageait pas ses pensées ou son opinion. À leur première rencontre, les deux amis de Koffi, aussi de descendance africaine, ne sont pas très proche ni chaleureux avec lui, mais ceux-ci développent une amitié avec lui au cours de l’histoire. Nous apprenons au cours du temps que Raymond reste avec eux leur passé et histoire, les deux comportant un passé avec des cas de racisme et injustice. Leur passé donne l’impression au lecteur du côté injuste et négatif du multiculturalisme dans la société, et fait approche à la réalité qui se passe dans certaines sociétés. Le passé tragique de Joseph discute du racisme dans les sociétés multiculturelles. Il y a quelques an auparavant l’arrivé de Raymond que son proche, son frère, a été accusé et tué faussement par un policier blanc, et celui-ci n’a subit aucune charge ou punition pour son accident. Dès ce jour, Joseph ne trouva plus de respect pour les blancs, et les classifia tous dans la même catégorie. Cette tragédie racontée à Raymond lui n’a pas nécessairement altéré son point de vue, mais il n’a jamais entendu un scénario ou un point de vue tel que Joseph lui a raconté. Ceci lui à ouvert les yeux à une nouvelle perspective, et il n’est plus le garçon du village africain lorsqu’il est arrivé.
Après peu de temps à Toronto, on apprend du passé de Raymond; son passé au Bénin avec son premier vrai amour, Bijou. Il décrit celle-ci comme une fille pauvre de son village, et malgré qu’ils sont amoureux et passionnés de chacun, Bijou espère et à des pleines intentions de se marier à un homme blanc et riche pour lui donner un support sur le plan financier. Ceci représente une mentalité populaire de plusieurs femmes non-seulement dans le passé mais dans la société contemporaine. Leclair présente ce scénario pour démontrer au lecteur les normes sociales et stéréotypes existantes à travers le monde. Les noirs sont interprétés souvent comme la classe plus pauvre et la société et les blancs plus riches. Ceci n’est pas seulement un stéréotype, mais il est évident de le prouver en regardant aux pays du tiers-monde et aux pays développés, qui sont majoritairement blancs. Cet exemple qui Leclair projette dans son œuvre démontre les stéréotypes et la discrimination dans les sociétés par rapport aux blancs et les noirs.
Raymond parle aussi des gens qu’il connait depuis sa jeunesse dans son pays d’origine du Bénin. Il mentionne un homme Joseph Dorsinville ainsi que La Blanche d’Afrique. Joseph vient de la capitale Port-au-Prince, où il vit toute sa vie. Il discute de sa fierté et aussi de son embarras que sont père était un esclave et un coupeur de canne à sucre. Il exprime ses sentiments face à son père, qu’il voit comme étant un héro et la raison pour lequel il est la personne dont il est aujourd’hui. L’histoire de la Blanche d’Afrique est celle d’une des seules femmes blanches qui vivaient au Bénin lors de la jeunesse de Raymond. Chaque femme noire souhaitait qu’elle achète leurs biens dans les marchés et chaque homme noir voulait qu’elle soit la leur. Elle était pratiquement une déesse dans le pays. Elle marcha délicatement avec une bonne posture, portait des beaux vêtements et était seulement retrouvée dans les lieux les plus riches du Bénin. Ceci démontre le stéréotype des blancs versus les noirs sur l’échelle de richesse économique. Dans ce cas, Leclair montre encore les blancs comme étant supérieur et les noirs comme inférieurs.
Plus tard dans l’histoire, Raymond est amené à un salon de coupe-cheveux au centre-ville. En arrivant aux banlieues qui entourent le salon, il trouva que tout ce qui entourait le magasin était non la culture urbaine canadienne, mais tout était strictement de descendance africaine. Chaque personne dans le salon était noire, ainsi que les images sur les murs étaient des personnages exceptionnels de race noire tel que Bob Marley et Martin Luther King. Cette place n’était pas un endroit multiculturel, mais plutôt un lieu où toutes les personnes de race africaine vont pour se rassembler comme une communauté. C’était réellement un centre communautaire pour les noirs. Leclair démontra ceci dans son texte pour présenter l’autre côté du racisme. L’établissement des centres communautaires créées strictement pour les individus d’une telle race sont retrouvés partout, très spécifiquement à Toronto. Dans la ville de Toronto, il existe des régions qui sont attribués des noms différents pour spécifier chaque culture et leur territoire, par exemple Greek Town, Little Italiy, Little Portugal, Chinatown, et la liste continue. Ceux-ci sont un regroupement pour tous ses individus avec les mêmes intérêts communs, mais promouvaient sur un autre point de vue l’élément de racisme et discrimination. Les individus d’autres races ne sont pas nécessairement exclus de ces établissements de culture, mais la ségrégation qui est créé par ces groupes mène à des conclusions négatives sur le multiculturalisme dans le pays. La séparation des noirs par rapport aux autres cultures à Toronto démontre le côté du racisme, qui n’est pas par les blancs envers les noirs, mais des noirs envers les blancs dans ce cas si présenté par Leclair.
Un deuxième exemple de ségrégation à été représenté dans le livre de Leclair avec le chapitre d’After Hours. Ceci consiste d’une discothèque qui n’est pas nécessairement illégale, mais plutôt cachée de la société et réservée encore comme le salon de coiffure, pour les noirs seulement. L’ami de Raymond, Koffi, lui apporta à la discothèque où il fait connaissance à plusieurs gens de descendance africaine. Ici, on lui offre des drogues illégales et des boissons alcooliques, des substances qu’il n’a jamais essayées auparavant. Il décrit la discothèque comme un lieu caché et secret, où les gens sont tous couverts de sueur, où la musique est triomphante et tout le monde dance intoxiqués dans une salle sombre avec des lumières multicolores vibrantes. Ici, les femmes noires approchent les hommes et offrent leurs corps sans hésitation. La discothèque After Hours n’est pas un lieu multiculturel, mais encore un centre communautaire pour les noirs. Ceci démontre de plus le point de ségrégation qui est créé par le multiculturalisme dans les sociétés telles que Toronto.
Au cours de son vécu à Toronto, Raymond a fait connaissance à Maria, un português dont il établit une amitié très profonde avec, malgré leur rencontre bizarre. Un matin, il se réveilla seul dans l’appartement, et Maria entra dans comme si c’était la sienne et elle lui amena à la douche et eu des relations sexuelles avec lui sans hésitation et sans même lui connaitre. Par la suite, elle sembla surprise qu’il n’était pas habitué à ceci, et elle lui rassure que c’est un phénomène typique à Toronto. Cet évènement à aussi ouvert les yeux de Raymond à une culture et un mode de vie complètement différent à celui qu’il connaissait depuis sa jeunesse. Au cours des semaines qu’il vit à Toronto, c’est Maria qui lui amena partout et il passa la majorité de son voyage au Canada avec elle. C’est elle qui joua le rôle énorme dans le changement de la personne que Raymond est devenu dès son arrivé au pays jusqu'à ses dernières semaines. Maria introduit Raymond à une famille blanche qu’elle connait bien, et lorsque Raymond croyait qu’ils seraient racistes et lui traiteront de manière non-respectueuse, la mère de la famille devient amoureuse de lui et ils commencent à avoir des relations en privé.
Le dernier chapitre du roman sert comme une conclusion de la réalité du multiculturalisme que plusieurs personnes tendent à oublier fréquemment. Maria amena Raymond ainsi que Bob et Joseph chez la famille blanche dont elle à introduit Raymond auparavant pour un souper avant que Raymond quitte Toronto. Il y avait beaucoup d’hésitation de la part de Bob et Joseph, qui sont noirs, pour rentrer dans l’appartement luxueux de la famille blanche, mais ils sont quand même rentrés. Ils croyaient tous que la salle serait en état de choque que des noirs rentraient dans la salle, mais les hommes se sont introduits et agis de façon respectueuse. Par la fin de la soirée, les deux groupes chantaient, dansaient et célébraient tous ensemble, non comme deux groupes différents, mais ensemble en communion comme un groupe de gens qui font la fête. Cette scène est une conclusion ainsi qu’un message que Leclair voulait passer au lecteur : en réalité, l’ensemble de cultures dans un endroit condensé n’est pas quelque chose qu’il faut se méfier ou un aspect négatif, mais c’est un rassemblement de personnes différentes pour créer une belle diversité.
Au début de l’histoire, le jeune Raymond n’était certainement pas le type de commettre de l’adultère, ou même avoir des relations avec des femmes qu’il ne connait même pas, mais la socialisation initialisée par les gens qu’il a fait connaissance, tel que Maria, Joseph et Bob lui à ouvert les yeux à un autre monde et une nouvelle perception de la société. Cette socialisation n’a pas nécessairement altéré son identité, mais lui à montrer une nouvelle culture, une culture multiculturelle. Sa nouvelle connaissance de les diverses communautés retrouvées à Toronto lui a donné un nouveau point de vue ainsi que des connaissances pour lui donner la chance de décider quelle sorte de personne qu’il veut devenir. Son identité est restée la même, il tient encore son passé et sa culture africaine à cœur, mais il à changé dans le sens qu’il est maintenant plus informé et a un esprit plus ouvert aux possibilités dans le monde.
Les évènements dans le roman ont abordés sur les sous-thèmes du racisme, de la discrimination et de l’immigration sous le thème du multiculturalisme englobant chacun. Le multiculturalisme à Toronto est un phénomène observé par les sociétés mondiales, puisque le Canada est renommé comme un des pays les plus multiculturels au monde. Les évènements et problèmes dont Raymond à rencontré lors de son expérience au Canada ont démontrés les diverses points de vue du multiculturalisme à Toronto, ainsi que les problèmes populaires que les immigrants au Canada doivent surmonter lors de leur arrivée au pays. Le racisme et la discrimination sont des facteurs normatifs dont les immigrants vivent avec dans une société multiculturelle, ainsi que la ségrégation des différentes personnes en groupes spécifiques.
L’histoire du personnage principal du Livre, Raymond, est très similaire à la vie de Didier Leclair, mais il discute que ce n’est pas une bibliographie de sa vie. Leclair constate dans une entrevue que lorsqu’il est revenu au Canada après sa jeunesse et son adolescence en Afrique, il croyait que la ségrégation et le racisme serait un grand problème dans son établissement au nouveau pays. Par contre, il trouva à sa surprise que lorsqu’il est arrivé au pays, les gens provenant de toute race et culture au Canada lui traitait avec du respect et comme un individu parmi les autres. Leclair était très touché et surpris par ceci, et voulait passer le message par son livre que l’immigration ne mène pas aux problèmes de racisme comme plusieurs de gens imagineraient, mais c’est réellement une beauté lorsque les individus acceptent les autres pour qui ils sont malgré leurs différences. La société n’est pas ignorante comme la majorité du monde assumerait, et les gens sont acceptés pour qui ils sont et non à cause de leur race ou culture dans les sociétés multiculturelles.
Le roman «Alexis d’Haïti» par Marie-Célie Agnant exploite le thème du multiculturalisme non dans une société multi culturaliste urbaine comme Toronto, mais par le point de vue d’un enfant réfugié à Haïti, un pays de tiers-monde. L’histoire est écrite par une narration omnisciente qui voit les pensées de chaque individu. Le roman aborde le sujet et la situation délicate d’Haiti avec le gouvernement en trouble, les militaires envoyés sur les villages et les villages qui se tournent contre leur gouvernement pour leurs droits. Alexis est un jeune garçon haïtien qui fréquente l’école de façon quotidienne et qui revient à sa mère dans un petit village. Son père a été capturé par le militaire puisqu’ils croient qu’il est responsable des attaques et rebelles planifiées par les citoyens du village. L’histoire suit la vie d’Alexis et sa mère qui se réfugient et quitte leur pays pour éviter d’être retrouvés par le militaire comme famille du père arrêté. Alexis et sa mère son à la recherche de la liberté dans un nouveau pays où ils n’auront pas à vivre dans la peur et se cacher. Lors de leur parcours pour la liberté, ils font connaissance à plusieurs gens, aussi des réfugiés provenant de différents pays, et qui sont de différentes races, cultures et origines, qui cherchent tous la même chose : la liberté.
Lors de son parcours pour s’échapper d’Haïti, Alexis rencontre des gens provenant de plusieurs pays en trouble qui essayent tous de se rendre à un lieu pour une meilleure vie. Il rencontra des réfugiés du Mexique ainsi que du Cuba pendant son voyage à un camp loin de son pays. La beauté de l’ensemble de toutes les cultures lui toucha énormément. Lors d’une soirée dans le camp, des individus de chaque culture se sont joints ensemble pour faire des chants et des danses jusqu’au matin pour exprimer la joie, la foi, et l’espérance de retrouver une nouvelle vie. Malgré leurs différences, ils sont tous ensemble et sur le chemin dans le but de trouver la même chose dans la fin.
Le personnage d’Alexis change au cours de son trajet pour la liberté grâce aux événements et personnes qu’il rencontre. Après avoir quitté son pays d’origine, sa maison, sa famille, ses amis et tout ce qu’il connaissait, il était déprimé. Les pensées de sont père absent quelque part dans son pays et le militaire lui cherchant, son espoir ainsi que sa joie étaient invisibles pour lui au moment. Il réalisa par la suite qu’il devait trouver le courage et l’espoir pour quitter, et rechercher une vie juste et libre pour lui et sa mère. Cette expérience d’immigration et de réfugié qu’il a du vivre et surmonter lui a ouvert les yeux à toutes les possibilités qu’il peut avoir dans le futur et à réalisé jusqu'à quel point il est capable de se pousser pour atteindre ce qu’il veut. Cette expérience de vie lui à changé et maturé énormément et il passa d’un garçon à un jeune homme qui connait ses responsabilités.
Dans la société d’aujourd’hui, il existe encore plusieurs pays en trouble économique et gouvernementaux tel qu’Égypte et quelques pays d’Arabie Saoudite qui passent par ces problèmes depuis quelques mois. Un enfant qui est obligé de passé par ce qu’Alexis était forcé de surmonter est une expérience difficile à vivre. L’auteur démontre avec son histoire que l’immigration n’est pas facile, et qu’il y a plusieurs obstacles à surmonter. Dans cette œuvre, le multiculturalisme n’est pas un problème ou désavantage, en comparaison avec le trajet dont les personnages doivent faire.
Les deux livres servent encore comme des exemples concrets de situations qui se passent encore à travers le monde. Nous entendons à chaque jour des histoires d’immigrants qui vivent des temps difficiles en essayant de vivre dans les sociétés multiculturelles, non-seulement Toronto mais toutes les villes urbaines qui ont diverses cultures établies. Leurs vies peuvent être difficiles une fois arrivée et établit, mais le processus entier de l’immigration représenté dans le livre d’Haïti est aussi difficile que le produit final. Les immigrants passent par des processus extrêmement difficile pour avoir des vies libres. Un exemple de ceci est après la 2ème Guerre Mondiale lorsque plusieurs gens de différentes cultures voulaient s’établir au Canada pour la liberté qui leur a été promise. L’immigration demande des sacrifices, parfois mineurs et autres majeures, tels qu’abandonner sa famille pour quelques mois ou années pour des raisons économiques, ou vendre tous les biens pour simplement changer de lieu.
Dans les romans «Toronto, je t’aime» par Didier Leclair, et «Alexis d’Haïti» par Marie-Célie Agnant, le thème du multiculturalisme a été exploité par les histoires différentes des immigrants à Toronto et en Haïti. À travers les deux œuvres littéraires, les auteurs ont précisé que l’identité de chaque personnage est altérée en résultat des évènements qu’ils ont vécus, dans les deux cas le phénomène d’immigration. Dans le cas de Raymond à Toronto, il a vécu des situations de racisme, de discrimination et d’injustice dans une société urbaine. Ceci a un effet différent sur son identité et sur sa personnalité que celui d’Alexis, un réfugié qui cherche une liberté et une meilleure vie dans un nouveau pays. Dans les deux cas, le phénomène d’immigration et du multiculturalisme peut changer une personne complètement, ses pensées, son point de vue, et essentiellement son identité. Lorsqu’un individu abandonne par choix ou est forcé de quitter tout ce qu’il connait pour commencer à nouveau dans un lieu où il y a une grande diversité, ses yeux sont ouverts au monde multiculturel dont nous faisons tous partis. En étant un membre d’une société multiculturelle, l’ignorance, le racisme, et le jugement peuvent être vaincus dans chaque personne et une société d’acceptance et de paix peut être formée.
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