mercredi 22 juin 2011

Projet Final: Le multiculturalisme par Aurelie Renout

Le multiculturalisme est un regroupement d’individus de différentes races et cultures dans un même milieu. Nous retrouvons de plus en plus à travers le monde de sociétés plus multiculturelles grâce à l’immigration et la mondialisation. Ce regroupement de gens occupant des mentalités différentes mena à diverses sociétés un aspect de diversité et d’échange de culture. Par contre, plusieurs controverses mondiales au cours de l’histoire sont fondées sur le principe du multiculturalisme qui n’est pas supporté par chaque culture. Les vies de plusieurs immigrants sont grandement influencées par la ségrégation supportée par la société multi culturaliste dont ils font parti. À travers le monde, la majorité des auteurs écrivant des romans sur le multiculturalisme sont eux-mêmes des victimes et ont vécu dans leur vie des situations de controverse par rapport à leur race dans une société multiculturelle. Les romans «Toronto,  je t’aime» écrit par originaire de Bénin en Afrique, Didier Leclair, et «Alexis d’Haïti» par Marie-Célie Agnant exploitent le thème du multiculturalisme dans les sociétés entièrement différentes de Toronto jusqu’à l’autre bout du monde en Haïti. Les aspects abordés dans chaque œuvre littéraire font approche à l’identité des immigrants qui est altérée et formée dans le cadre de la société dont ils font partie. En explorant le parcours de chaque personnage au cours de son histoire, nous expliquerons le thème de multiculturalisme, ainsi que la recherche d’identité des personnages basée sur son vécu comme immigrant.

Chacun des œuvres littéraires discute d’un point de vue immigrant le multiculturalisme dans la société dont ils vivent. Publié en 2011 par la maison d’édition Éditions du Vermillon, le roman «Toronto,  je t’aime» par écrivain de descendance africaine né à Montréal, Didier Leclair, raconte la vie d’un homme africain arrivant à Toronto pour visiter son ami depuis la jeunesse en Afrique qu’il n’a pas vu depuis longtemps. Ceci est écrit sous forme de journal personnel du personnage principal, Raymond, ainsi que contient un point de vue dans la mentalité des autres personnages. Le jeune africain du Bénin, un jeune qui n’a jamais quitté son village ou vu autre que son pays d’origine, Raymond, arrive à Toronto et commence son journal en décrivant les lieux et la nouvelle culture urbaine canadienne qui lui entoure. Il décrit quelques-unes des rues fameuses de Toronto tels que la rue Yonge, Queen et King avec des détails excessifs. Il décrit la rue Yonge comme : «[…] la plus longue de Toronto. Certains disent que c’est la plus longue au monde […] des faisceaux multicolores de voitures. On aura cru le chatoiement d’émeraudes sur une piste infinie. Des passants pris en mouvement, révélant des dédoublements multiples à leurs silhouettes floues et octroyant à ma carte postale à une atmosphère électrisante et pleine de vie. » Cet atmosphère en est une qu’il n’a jamais vécu lors de toute sa vie en Afrique. Il est émerveillé par la diversité  et la culture urbaine de la ville dont il voit pour la première fois. Il explique aussi les autres merveilles qu’il retrouve au cours de son histoire à Toronto, tel que les grands immeubles qui touchent le ciel, et le métropolitain qu’il définie comme un serpent métallique passant sous la terre.

Dès le début de son arrivée à Toronto, Raymond était un garçon silencieux, très fermé et ne partageait pas ses pensées ou son opinion. À leur première rencontre, les deux amis de Koffi, aussi de descendance africaine, ne sont pas très proche ni chaleureux avec lui, mais ceux-ci développent une amitié avec lui au cours de l’histoire. Nous apprenons au cours du temps que Raymond reste avec eux leur passé et histoire, les deux comportant un passé avec des cas de racisme et injustice. Leur passé donne l’impression au lecteur du côté injuste et négatif du multiculturalisme dans la société, et fait approche à la réalité qui se passe dans certaines sociétés. Le passé tragique de Joseph discute du racisme dans les sociétés multiculturelles. Il y a quelques an auparavant l’arrivé de Raymond que son proche, son frère, a été accusé et tué faussement par un policier blanc, et celui-ci n’a subit aucune charge ou punition pour son accident. Dès ce jour, Joseph ne trouva plus de respect pour les blancs, et les classifia tous dans la même catégorie. Cette tragédie racontée à Raymond lui n’a pas nécessairement altéré son point de vue, mais il n’a jamais entendu un scénario ou un point de vue tel que Joseph lui a raconté. Ceci lui à ouvert les yeux à une nouvelle perspective, et il n’est plus le garçon du village africain lorsqu’il est arrivé.

Après peu de temps à Toronto, on apprend du passé de Raymond; son passé au Bénin avec son premier vrai amour, Bijou. Il décrit celle-ci comme une fille pauvre de son village, et malgré qu’ils sont amoureux et passionnés de chacun, Bijou espère et à des pleines intentions de se marier à un homme blanc et riche pour lui donner un support sur le plan financier. Ceci représente une mentalité populaire de plusieurs femmes non-seulement dans le passé mais dans la société contemporaine. Leclair présente ce scénario pour démontrer au lecteur les normes sociales et stéréotypes existantes à travers le monde. Les noirs sont interprétés souvent comme la classe plus pauvre et la société et les blancs plus riches. Ceci n’est pas seulement un stéréotype, mais il est évident de le prouver en regardant aux pays du tiers-monde et aux pays développés, qui sont majoritairement blancs. Cet exemple qui Leclair projette dans son œuvre démontre les stéréotypes et la discrimination dans les sociétés par rapport aux blancs et les noirs.

Raymond  parle aussi des gens qu’il connait depuis sa jeunesse dans son pays d’origine du Bénin. Il mentionne un homme Joseph Dorsinville ainsi que La Blanche d’Afrique. Joseph vient de la capitale Port-au-Prince, où il vit toute sa vie. Il discute de sa fierté et aussi de son embarras que sont père était un esclave et un coupeur de canne à sucre. Il exprime ses sentiments face à son père, qu’il voit comme étant un héro et la raison pour lequel il est la personne dont il est aujourd’hui. L’histoire de la Blanche d’Afrique est celle d’une des seules femmes blanches qui vivaient au Bénin lors de la jeunesse de Raymond. Chaque femme noire souhaitait qu’elle achète leurs biens dans les marchés et chaque homme noir voulait qu’elle soit la leur. Elle était pratiquement une déesse  dans le pays. Elle marcha délicatement avec une bonne posture, portait des beaux vêtements et était seulement retrouvée dans les lieux les plus riches du Bénin. Ceci démontre le stéréotype des blancs versus les noirs sur l’échelle de richesse économique. Dans ce cas, Leclair montre encore les blancs comme étant supérieur et les noirs comme inférieurs.

Plus tard dans l’histoire, Raymond est amené à un salon de coupe-cheveux au centre-ville. En arrivant aux banlieues qui entourent le salon, il trouva que tout ce qui entourait le magasin était non la culture urbaine canadienne, mais tout était strictement de descendance africaine. Chaque personne dans le salon était noire, ainsi que les images sur les murs étaient des personnages exceptionnels de race noire tel que Bob Marley et Martin Luther King. Cette place n’était pas un endroit multiculturel, mais plutôt un lieu où toutes les personnes de race africaine vont pour se rassembler comme une communauté. C’était réellement un centre communautaire pour les noirs. Leclair démontra ceci dans son texte pour présenter l’autre côté du racisme. L’établissement des centres communautaires créées strictement pour les individus d’une telle race sont retrouvés partout, très spécifiquement à Toronto. Dans la ville de Toronto, il existe des régions qui sont attribués des noms différents pour spécifier chaque culture et leur territoire, par exemple Greek Town, Little Italiy, Little Portugal, Chinatown, et la liste continue. Ceux-ci sont un regroupement pour tous ses individus avec les mêmes intérêts communs, mais promouvaient sur un autre point de vue l’élément de racisme et discrimination. Les individus d’autres races ne sont pas nécessairement exclus de ces établissements de culture, mais la ségrégation qui est créé par ces groupes mène à des conclusions négatives sur le multiculturalisme dans le pays. La séparation des noirs par rapport aux autres cultures à Toronto démontre le côté du racisme, qui n’est pas par les blancs envers les noirs, mais des noirs envers les blancs dans ce cas si présenté par Leclair.

Un deuxième exemple de ségrégation à été représenté dans le livre de Leclair avec le chapitre d’After Hours. Ceci consiste d’une discothèque qui n’est pas nécessairement illégale, mais plutôt cachée de la société et réservée encore comme le salon de coiffure, pour les noirs seulement. L’ami de Raymond, Koffi, lui apporta à la discothèque où il fait connaissance à plusieurs gens de descendance africaine. Ici, on lui offre des drogues illégales et des boissons alcooliques, des substances qu’il n’a jamais essayées auparavant. Il décrit la discothèque comme un lieu caché et secret, où les gens sont tous couverts de sueur, où la musique est triomphante et tout le monde dance intoxiqués dans une salle sombre avec des lumières multicolores vibrantes. Ici, les femmes noires approchent les hommes et offrent leurs corps sans hésitation. La discothèque After Hours n’est pas un lieu multiculturel, mais encore un centre communautaire pour les noirs. Ceci démontre de plus le point de ségrégation qui est créé par le multiculturalisme dans les sociétés telles que Toronto.

Au cours de son vécu à Toronto, Raymond a fait connaissance à Maria, un português dont il établit une amitié très profonde avec, malgré leur rencontre bizarre. Un matin, il se réveilla seul dans l’appartement, et Maria entra dans comme si c’était la sienne et elle lui amena à la douche et eu des relations sexuelles avec lui sans hésitation et sans même lui connaitre. Par la suite, elle sembla surprise qu’il n’était pas habitué à ceci, et elle lui rassure que c’est un phénomène typique à Toronto. Cet évènement à aussi ouvert les yeux de Raymond à une culture et un mode de vie complètement différent à celui qu’il connaissait depuis sa jeunesse. Au cours des semaines qu’il vit à Toronto, c’est Maria qui lui amena partout et il passa la majorité de son voyage au Canada avec elle.  C’est elle qui joua le rôle énorme dans le changement de la personne que Raymond est devenu dès son arrivé au pays jusqu'à ses dernières semaines. Maria introduit Raymond à une famille blanche qu’elle connait bien, et lorsque Raymond croyait qu’ils seraient racistes et lui traiteront de manière non-respectueuse, la mère de la famille devient amoureuse de lui et ils commencent à avoir des relations en privé.

Le dernier chapitre du roman sert comme une conclusion de la réalité du multiculturalisme que plusieurs personnes tendent à oublier fréquemment. Maria amena Raymond ainsi que Bob et Joseph chez la famille blanche dont elle à introduit Raymond auparavant pour un souper avant que Raymond quitte Toronto. Il y avait beaucoup d’hésitation de la part de Bob et Joseph, qui sont noirs, pour rentrer dans l’appartement luxueux de la famille blanche, mais ils sont quand même rentrés. Ils croyaient tous que la salle serait en état de choque que des noirs rentraient dans la salle, mais les hommes se sont introduits et agis de façon respectueuse. Par la fin de la soirée, les deux groupes chantaient, dansaient et célébraient tous ensemble, non comme deux groupes différents, mais ensemble en communion comme un groupe de gens qui font la fête. Cette scène est une conclusion ainsi qu’un message que Leclair voulait passer au lecteur : en réalité, l’ensemble de cultures dans un endroit condensé n’est pas quelque chose qu’il faut se méfier ou un aspect négatif, mais c’est un rassemblement de personnes différentes pour créer une belle diversité.

Au début de l’histoire, le jeune Raymond n’était certainement pas le type de commettre de l’adultère, ou même avoir des relations avec des femmes qu’il ne connait même pas, mais la socialisation initialisée par les gens qu’il a fait connaissance, tel que Maria, Joseph et Bob lui à ouvert les yeux à un autre monde et une nouvelle perception de la société. Cette socialisation n’a pas nécessairement altéré son identité, mais lui à montrer une nouvelle culture, une culture multiculturelle. Sa nouvelle connaissance de les diverses communautés retrouvées à Toronto lui a donné un nouveau point de vue ainsi que des connaissances pour lui donner la chance de décider quelle sorte de personne qu’il veut devenir. Son identité est restée la même, il tient encore son passé et sa culture africaine à cœur, mais il à changé dans le sens qu’il est maintenant plus informé et a un esprit plus ouvert aux possibilités dans le monde.

            Les évènements dans le roman ont abordés sur les sous-thèmes du racisme, de la discrimination et de l’immigration sous le thème du multiculturalisme englobant chacun. Le multiculturalisme à Toronto est un phénomène observé par les sociétés mondiales, puisque le Canada est renommé comme un des pays les plus multiculturels au monde. Les évènements et problèmes dont Raymond à rencontré lors de son expérience au Canada ont démontrés les diverses points de vue du multiculturalisme à Toronto, ainsi que les problèmes populaires que les immigrants au Canada doivent surmonter lors de leur arrivée au pays. Le racisme et la discrimination sont des facteurs normatifs dont les immigrants vivent avec dans une société multiculturelle, ainsi que la ségrégation des différentes personnes en groupes spécifiques.

L’histoire du personnage principal du Livre, Raymond, est très similaire à la vie de Didier Leclair, mais il discute que ce n’est pas une bibliographie de sa vie. Leclair constate dans une entrevue que lorsqu’il est revenu au Canada après sa jeunesse et son adolescence en Afrique, il croyait que la ségrégation et le racisme serait un grand problème dans son établissement au nouveau pays. Par contre, il trouva à sa surprise que lorsqu’il est arrivé au pays, les gens provenant de toute race et culture au Canada lui traitait avec du respect et comme un individu parmi les autres. Leclair était très touché et surpris par ceci, et voulait passer le message par son livre que l’immigration ne mène pas aux problèmes de racisme comme plusieurs de gens imagineraient, mais c’est réellement une beauté lorsque les individus acceptent les autres pour qui ils sont malgré leurs différences. La société n’est pas ignorante comme la majorité du monde assumerait, et les gens sont acceptés pour qui ils sont et non à cause de leur race ou culture dans les sociétés multiculturelles.

Le roman «Alexis d’Haïti» par Marie-Célie Agnant exploite le thème du multiculturalisme non dans une société multi culturaliste urbaine comme Toronto, mais par le point de vue d’un enfant réfugié à Haïti, un pays de tiers-monde. L’histoire est écrite par une narration omnisciente qui voit les pensées de chaque individu. Le roman aborde le sujet et la situation délicate d’Haiti avec le gouvernement en trouble, les militaires envoyés sur les villages et les villages qui se tournent contre leur gouvernement pour leurs droits. Alexis est un jeune garçon haïtien qui fréquente l’école de façon quotidienne et qui revient à sa mère dans un petit village. Son père a été capturé par le militaire puisqu’ils croient qu’il est responsable des attaques et rebelles planifiées par les citoyens du village. L’histoire suit la vie d’Alexis et sa mère qui se réfugient et quitte leur pays pour éviter d’être retrouvés par le militaire comme famille du père arrêté. Alexis et sa mère son à la recherche de la liberté dans un nouveau pays où ils n’auront pas à vivre dans la peur et se cacher. Lors de leur parcours pour la liberté, ils font connaissance à plusieurs gens, aussi des réfugiés provenant de différents pays, et qui sont de différentes races, cultures et origines, qui cherchent tous la même chose : la liberté.

            Lors de son parcours pour s’échapper d’Haïti, Alexis rencontre des gens provenant de plusieurs pays en trouble qui essayent tous de se rendre à un lieu pour une meilleure vie. Il rencontra des réfugiés du Mexique ainsi que du Cuba pendant son voyage à un camp loin de son pays. La beauté  de l’ensemble de toutes les cultures lui toucha énormément. Lors d’une soirée dans le camp, des individus de chaque culture se sont joints ensemble pour faire des chants et des danses jusqu’au matin pour exprimer la joie, la foi, et l’espérance de retrouver une nouvelle vie. Malgré leurs différences, ils sont tous ensemble et sur le chemin dans le but de trouver la même chose dans la fin.

            Le personnage d’Alexis change au cours de son trajet pour la liberté grâce aux événements et personnes qu’il rencontre. Après avoir quitté son pays d’origine, sa maison, sa famille, ses amis et tout ce qu’il connaissait, il était déprimé. Les pensées de sont père absent quelque part dans son pays et le militaire lui cherchant, son espoir ainsi que sa joie étaient invisibles pour lui au moment. Il réalisa par la suite qu’il devait trouver le courage et l’espoir pour quitter, et rechercher une vie juste et libre pour lui et sa mère. Cette expérience d’immigration et de réfugié qu’il  a du vivre et surmonter lui a ouvert les yeux à toutes les possibilités qu’il peut avoir dans le futur et à réalisé jusqu'à quel point il est capable de se pousser pour atteindre ce qu’il veut. Cette expérience de vie lui à changé et maturé énormément et il passa d’un garçon à un jeune homme qui connait ses responsabilités.

            Dans la société d’aujourd’hui, il existe encore plusieurs pays en trouble économique et gouvernementaux tel qu’Égypte et quelques pays d’Arabie Saoudite qui passent par ces problèmes depuis quelques mois. Un enfant qui est obligé de passé par ce qu’Alexis était forcé de surmonter  est une expérience difficile à vivre. L’auteur démontre avec son histoire que l’immigration n’est pas facile, et qu’il y a plusieurs obstacles à surmonter. Dans cette œuvre, le multiculturalisme n’est pas un problème ou désavantage, en comparaison avec le trajet dont les personnages doivent faire.


            Les deux livres servent encore comme des exemples concrets de situations qui se passent encore à travers le monde. Nous entendons à chaque jour des histoires d’immigrants qui vivent des temps difficiles en essayant de vivre dans les sociétés multiculturelles, non-seulement Toronto mais toutes les villes urbaines qui ont diverses cultures établies. Leurs vies peuvent être difficiles une fois arrivée et établit, mais le processus entier de l’immigration représenté dans le livre d’Haïti est aussi difficile que le produit final. Les immigrants passent par des processus extrêmement difficile pour avoir des vies libres. Un exemple de ceci est après la 2ème Guerre Mondiale lorsque plusieurs gens de différentes cultures voulaient s’établir au Canada pour la liberté qui leur a été promise. L’immigration demande des sacrifices,  parfois mineurs et autres majeures, tels qu’abandonner sa famille pour quelques mois ou années pour des raisons économiques, ou vendre tous les biens pour simplement changer de lieu.

Dans les romans «Toronto,  je t’aime»  par Didier Leclair, et «Alexis d’Haïti» par Marie-Célie Agnant, le thème du multiculturalisme a été exploité par les histoires différentes des immigrants à Toronto et en Haïti. À travers les deux œuvres littéraires, les auteurs ont précisé que l’identité de chaque personnage est altérée en résultat des évènements qu’ils ont vécus, dans les deux cas le phénomène d’immigration. Dans le cas de Raymond à Toronto, il a vécu des situations de racisme, de discrimination et d’injustice dans une société urbaine. Ceci a un effet différent sur son identité et sur sa personnalité que celui d’Alexis, un réfugié qui cherche une liberté et une meilleure vie dans un nouveau pays. Dans les deux cas,  le phénomène d’immigration et du multiculturalisme peut changer une personne complètement, ses pensées, son point de vue, et essentiellement son identité. Lorsqu’un individu abandonne par choix ou est forcé de quitter tout ce qu’il connait pour commencer à nouveau dans un lieu où il y a une grande diversité, ses yeux sont ouverts au monde multiculturel dont nous faisons tous partis. En étant un membre d’une société multiculturelle, l’ignorance, le racisme, et le jugement peuvent être vaincus dans chaque personne et une société d’acceptance et de paix peut être formée.  

           

mercredi 18 mai 2011

Texte Explicatif - L'abus excessif des drogues illicites chez les adolescents

L’abus excessif des drogues illicites chez les adolescents
L’adolescence est interprétée comme étant le stage dans la vie où l’individu expérimente et prend des risques majeurs. Entourés par les pairs à l’entour de l’adolescent, l’expérimentation passe par des stages plus mineurs comme des petites blagues telles que cogner à la porte d’un voisin et s’en fuir, et deviennent plus sérieux et risquées avec le temps. Une expérimentation fréquente chez un grand nombre des adolescents provenant des pays développés est celle de l’essai de drogues illégales, tels que l’alcool, la marijuana et les drogues classées plus sévères telles que la cocaïne, l’héroïne, etc. La première dose de drogues est seulement un essai pour satisfaire la curiosité, mais le problème évident et grave des drogues est l’addiction irrésistible de celles-ci. La vulnérabilité chez les adolescents leur cause à continuer la consommation des drogues, menant à l’abus excessive et dangereuse des drogues. Les recherches ont distinguées divers raisons pour lesquelles les adolescents abusent de plus en plus les drogues illégales, qui est devenu un problème très grave dans notre société. En élaborant sur les causes qui mènent à l’addiction chez les adolescents et les conséquences directement liées avec l’abus de drogues, le problème de la toxicomanie chez les adolescents peut être conclut comme une situation devenant de plus en plus sérieuse pour lui-même est ceux qui l’entoure.
Des expérimentations adolescentes?
            Diverses recherches mondiales ont été exécutées lors des années en but de déterminer la racine de l’abus de drogues chez les adolescents. Une conclusion très fréquente déclarée par des psychiatres ainsi que des docteurs constate que l’abus de drogues plus tard dans la vie de l’adolescent est résultat de deux éléments spécifiques. Les psychiatres Dr. Ait Mohand et Dr. Terranti constatent que l’essai de drogues chez les adolescents est un mélange de la curiosité et le désir d’expérimentation de l’individu, ainsi que par l’influence des pairs. L’adolescence est un stage où il est primordial et important d’être parti d’un groupe social, où tout est possible, ainsi que le stage où une personne se définie comme individu et établit son identité, qui aussi une conclusion par la MILDT, (les études gouvernementales de drogues) et L’INPES. Ils s’appuient spécifiquement sur le point que l’adolescence est le temps d’expériences, et que les pairs jouent un grand rôle dans ceci.  La curiosité de l’essai de substances psycho actives de l’adolescent ne peut pas être évitée, puisque chacun développe des stratégies pour se dégourdir, avoir du plaisir, et de ne pas souffrir. Une stratégie très populaire est la consommation de drogues. Ces expériences peuvent sembler comme mineures et inoffensives, mais en réalité ces actions marquent le début d’une situation qui est dangereuse et nocive chez l’adolescent et ceux qui l’entoure.
Lorsqu’une simple expérimentation devient catastrophique
C’est seulement lorsque l’adolescent devient un pharmacodépendant, donc ses habitudes et actions sont altérés et une pulsion lui provoque à toujours vouloir consommer la drogue, qu’il faut arrêter la répétition de cette conduite qui peut devenir nocif pour l’individu et les gens qui l’entoure. Les adolescents deviennent souvent des consommateurs de drogues excessifs avant l’âge de 20 ans, et peuvent devenir dépendants physiquement ou psychiquement, et même passer à des produits plus dangereux  pour le restant de sa vie s’il ne reçoit pas l’aide qu’il à de besoin dès le début de sa dépendance.
Les adolescents qui sont les plus susceptibles à devenir des consommateurs excessifs sont ceux des rues, ceux qui travaillent, ceux qui ont une incapacité mentale ou physique, des victimes de guerres, des survivants de catastrophes naturelles, ceux qui rencontrent des difficultés scolaires et familiales, ainsi que plusieurs autres situations de stress extrême qui sont imposés sur ses adolescents. Ceux-ci ne possèdent pas un entourage positif pour leur encourager à ne pas devenir toxicomanes et de leur informer des conséquences. Ces adolescents défavorisés continuent leur consommation, jusqu’à ce que leur identité change complètement et sont dépendants sur la drogue pour leur garder sain. La drogue est la seule chose qui fait du sens et ils oublient de toutes les autres choses dans leur vie. Ceci mène a l’abandon de la famille, de la fréquentation de l’école et dévouent tout leur temps à leur groupe d’amis où le centre d’attention est porté sur les drogues toxiques.
Des professeurs à l’Université d’État du Colorado, du cours portant sur le développement humain et l’étude familiale, ont déterminés plusieurs indices et signaux pour avertir à un parent ou un proche si leur adolescent est un toxicomane. Ceux-ci consistent sur la fréquentation de ses classes, l’arrêt soudain d’activités parascolaires, une possession de matériel en corrélation avec la drogue, une source inconnue de revenu, ainsi que très souvent des changements physiques, tels que physique apparent ou mentalement, par exemple la mémoire. Ces éléments sont parmi les centaines de conséquences reliées à la toxicomanie, et si cette consommation excessive nocive de ces substances continue, la mort tragique marquera le destin de l’individu.
Après avoir élaboré sur la cause initiale de l’essai de substances illicites, qui est résultat de le désir d’expérimentation et curiosité de l’adolescent, ainsi que les diverses conséquences en lien avec la dépendance de ces drogues, il est évident de dire que l’abus excessif des drogues illégales chez ces individus est prouvé comme étant un problème sérieux en croissance dans les sociétés du monde. Il semblerait par le point de vue de la société que ces individus sont des mauvaises personnes et manquent l’intelligence, mais cette addiction est seulement formée la majorité du temps puisqu’ils vivent dans des conditions de vies qui ne favorisent pas la santé et le bien-être. C’est un sujet très délicat à toucher mais espérons qu’un jour le problème peut faire un tour complet et la société serait capable de gérer et prévenir les jeunes de tourner aux drogues et devenir toxicomanes.


vendredi 8 avril 2011

Analyse Littéraire : Le Horla

Analyse Littéraire de «Le Horla» de Guy De Maupassant

Le texte littéraire émerveillant de Guy De Maupassant, intitulé «Le Horla» présente le phénomène du surnaturel, se manifestant dans la victime à travers de son histoire. Lors de la progression de l’histoire du personnage, présenté sous forme de journal intime, le surnaturel est décrit comme un facteur réel qui altère la vie de l’individu, lui amenant à un état d’esprit possédé par la force invisible, lui menant a effectuer des tâches contre sa propre volonté. Cette force mystérieuse invisible est l’élément central qui capture et détruit l’esprit libre de l’individu, de plus lui menant à sa fatalité. Le rapport du mystère de l’invisible avec sa victime démontre au lecteur jusqu'à quel point notre esprit peut être influencé par notre propre interprétation de l’existence de l’invisible.
            L’histoire commence avec un homme, où son esprit est joyeux et libre, avec aucun trouble dans le monde entier. Quelques jours plus tard, il commença à se sentir fiévreux, souffrant et triste. C’est là où il réalisa que son découragement soudain de l’esprit est possiblement causé par une influence mystérieuse, dont il ne connait pas la source. Cet évènement simple de fièvre marque le début de la possibilité d’une présence qui lui suit. Au cours des semaines, l’idée d’une présence mystérieuse lui suit, envahit ses pensées et commence lentement de passer d’une présence irréelle à un phénomène, presque un nouvel être, toujours présent comme un germe. Il ressent cette présence inconnue comme un danger et une menace, et ressent que cette présence va apporter la mort. Après plusieurs semaines, ses nuits commencent à manger ses jours, et il devient incapable de dormir sans des crises. Même après ses diverses tentatives de se débarrasser et d’oublier cette force maline avec l’aide de professionnels, sa présence ne semblait jamais lui disparaitre. Elle est intégrée dans ses pensées et clouée à son esprit. Les évènements qui se sont passés dans sa chambre et dans la forêt lui ont donné une preuve visuelle qu’il y avait réellement une présence qui lui suivait et hantait. Maintenant, l’existence de cette force invisible n’était plus une fausse réalité, mais était une force qui forcera sa victime à faire des actions contre sa bonne volonté. Guy De Maupassant définie cette présence comme étant mauvaise et négative, et que l’être humain en craint. Jusqu'à présent, cette force invisible a pu changer une personne saine en quelqu’un paranoïaque et fou. En conséquent d’avoir craint et laissant cette présence s’emparer de sa vie, la victime brûla sa propre maison pour tuer l’être qui lui suit, en tuant accidentellement ses domestiques. En réalisant par après qu’elle est encore parmi lui, et lui restera, le personnage a réellement perdu toute sainteté et est possédé par le Horla, lui provoquant de se tuer, qui lui semble être la seule façon de s’en débarrasser. 
Le Horla démontre le mystère de l’invisible comme non un mystère avantageux, mais plutôt un mystère qui insinue la peur et la maladie chez un individu. Dans un monde où nous ne sommes jamais certains de rien, un mystère tel que celui de la présence invisible peut modifier nos connaissances sur les aspects que nous savons et que nous pouvons voir.  En élaborant à travers son histoire les thèmes du mystère des humains par rapport aux choses inconnues, ainsi que l’impuissance et la vulnérabilité de l’humain, Maupassant conclut que la peur de l’invisible à des effets sur nous comme humains, et que notre race humaine est impuissante contre les facteurs externes que nous ne connaissons pas. C’est un phénomène naturel de ressentir une peur face aux choses qu’on ne peut voir, mais interpréter cette présence invisible comme étant maline au lieu de bonne peut rendre un individu fou et vulnérable, ce qui Maupassant a démontré avec son texte littéraire, «Le Horla»

mardi 29 mars 2011

L'imaginable


Un éclat jaunâtre miniature clignotant dans une extrémité sombre du cerveau. Seule, elle semblera petite et inutile dépendant de l'individu qui l’expérience; mais pour un autre, la petite lumière faible déclenche une combustion de pensées et d'idées imaginables. Imaginable, tu  penserais. L’imaginable se manifeste que dans l’esprit de celui qui ne l’accepte pas –qui n’en pense pas. Chez l’esprit créatif de l’individu choisi par hasard, celui auquel son destin est déjà consommé par le cadeau de la créativité, ses idées établis dans son endroit lointain cérébral au moment peuvent instantanément déclencher une série de milliards d’idées. Celles-ci se propagent dans tous les sens dans l’esprit vif de la personne. Les idées se propagent dans la noirceur et déclenchent des feux d’artifices dans l’esprit lorsqu’ils trouvent une mémoire de l’individu en corrélation avec l’idée initiale. Elles courent rapidement dans l’esprit, cherchant les valeurs en toutes formes, les connaissances anciennes et récentes ainsi que les mémoires de moments de peine ou joie extrême.  Avec tous ces éléments, les idées, qui étaient auparavant des jeunes pensées, ont maintenant une connexion profonde avec le sens émotif de l’individu. Le réalisme ultime de ces idées façonnées chez la personne au moment peut disparaitre dans une noirceur infinie, serrés dans la mémoire lointaine où par chance elle sera réanimée dans l’esprit au futur.  Si la personne ne perd pas son train de pensées étourdissantes, il peut rendre la flamme initiale individuelle de moindre pensée en feu catastrophique d’idées. Cette abondance d’idées chez l’individu allume une idée brillante, émouvante, géniale dans la noirceur de l’esprit. L’idée géniale se faufile presque instantanément dans toute direction, à chaque centimètre du corps humain. L’idée se retrouve maintenant éparpillée par les nombreux vaisseaux épais et minces à travers le corps entier. Celui en possession de l’idée se trouve en état où il incorpore tout ce qu’il connait, son interprétation de la vie tel quelle, avec son imagination. En combinant tous les facteurs irréels et fantaisies de l’imagination avec les aspects réels, troublants ou émouvants du côté réaliste, l’individu est en position stable où exprimer ses idées est maintenant possible. Il possède la culpabilité de projeter les pensées et idées profondes de son esprit. Il est maintenant capable de créer de l’art, après avoir accomplit le processus stressant de l’obtention d’idée pour mener à créer de la beauté. 

mardi 22 février 2011

Le tabagisme: Un problème?

Il a existé des gens remarquables dans la société qui ont dédié leur vie pour obtenir la liberté qu’ils possèdent aujourd’hui. Cette liberté est non un privilège, mais plutôt un droit qui devrait être accordé à chaque individu, donnant à chacun l’opportunité de décider leurs propres actions, tel que fumer, et de vivre la façon dont ils veulent. Lorsque les actions des fumeurs commencent à interférer avec la liberté de ceux qui luttent contre le tabagisme, est-ce que les contraintes sociales viennent en jeu et mettent une limite sur les droits des fumeurs, ainsi nuisant à leur vie paisible dans la société? Une affirmation de cette déclaration est valable. L’opinion majoritaire du publique influence le gouvernement à imposer des restrictions et limitations sur les défavorisés, dans ce cas, les fumeurs. Les contraintes sociales imposent en effet des limitations, enlevant aux fumeurs le droit à une vie paisible. En élaborant sur les valeurs sociales, les mesures prisent par le gouvernement sur le tabagisme, les troubles reliés aux fumeurs forcés à abandonner leur droit, et le droit de l’homme, il est possible de prouver que les limites créées par la société nuisent aux fumeurs leurs droits moraux.
Aujourd’hui, l’anti-tabagisme a été tellement appuyé sur la société au point que dans notre société contemporaine, l’acte de fumer est interpréter comme un comportement inadéquat et sauvage,  même pratiquement un crime. Les non-fumeurs, qui représentent une grande partie de la société, on lutter contre le tabagisme jusqu’au point que les mesures gouvernementales ont été prisent. Celles-ci incluent des restrictions en termes de lieux, comme l’ajout des fumoirs dans des restaurants et zones au travail, avant l’interdiction de fumer dans leur lieu de travail, les moyens de transport, ainsi que dans les endroits publiques. L’ajout de mises en garde obligatoire sur chaque paquet de cigarettes a aussi été décidé par le gouvernement.
Des études provenant du Guide de renonciation au fumage constatent que lorsqu’un individu commence à fumer la cigarette, la nicotine, étant la drogue dépendante dans la cigarette, rend la renonciation de fumer dans les lieux où ils fumeraient avant, très difficile. Les fumeurs sont tellement habitués à allumer une cigarette lors des moments d’haute pression et de stress, très souvent dans le lieu de travail pour se dégourdir. Après les mesures prises pour arrêter ceci, les fumeurs sont privés des substances qui nourrissent leur addiction, qui mène à des graves répercussions. L’individu ressent du stress, l’impatience, l’anxiété et même jusqu'à une dépression. Ces problèmes sur le niveau émotionnel peuvent mener à des problèmes physiques, tels que manque de sommeil et appétit, ainsi des troubles sociaux tels que familiaux et de productivité. Ces répercussions démontrent une nuisance évidente à une vie paisible pour les fumeurs, qui peut être justifiée comme injuste, considérant que la Charte canadienne des droits et libertés constitue d’accorder les droits et libertés à chaque citoyen.
Dès le moment où le gouvernement a prit des mesures sur l’anti-tabagisme, la vie paisible des fumeurs changera complètement. L’élaboration des valeurs sociales, les mesures prisent par le gouvernement sur le tabagisme, les troubles reliés aux fumeurs forcés à abandonner leur droit, et le droit de l’homme, on peut conclure que la liberté juste chez les fumeurs  a été enlevée et sont maintenant forcés a vivre dans une société auquel ils sont abaissés et aperçus par leurs pairs comme des ignorants.